Ça CEst Passé Simplement 9
Mercredi 15 octobre 1986 Le soir
Du au regroupement des entreprises de TP, lorganisation devait être complètement modifiée, ou plutôt devait évoluer, donc le siège avait provoqué une grande réunion, à Poitiers, au niveau du quart sud ouest pour nous parler de la réorganisation de lentreprise au niveau local. Nous étions une cinquantaine de cadres et encadrement technique et administratif à être invité. Les éloignés comme moi, devions arriver le Mercredi soir, pour être prêts au démarrage de cette réunion le jeudi à 9,00 h, le départ pour le retour étant prévu, pour les éloignés le vendredi matin.
Ce que je savais cétait que la grande responsable de lorganisation était Mireille, ce qui massurait de la revoir après près de 17 mois, où nous navions eu aucun contact. Enfin, cela nest pas tout à fait exact, dans la mesure où, quelques temps après mon installation dans mon nouveau poste, nous avions pris contact par téléphone, mais passant par nos standards réciproques, nous avions vite compris et stopper toutes conversations personnelles, celles-ci pouvant être entendues par les standardistes. Cétait donc pratiquement des retrouvailles, enfin une espérance de mon coté.
Nous devions donc nous rendre dans un hôtel assez grand pour accueillir toutes ces personnes. Je le connaissais bien pour y avoir séjourné plusieurs fois et qui me rappelait les très bons souvenirs dont la nuit passée avec Mireille. Jarrivais vers 19,00 h et entrais dans le hall daccueil. Il y avait, bien indiqué, un desk spécial pour nous, où je me rendis. La première personne que je vis fut Mireille. Sen suivit le dialogue habituel et courtois entre personnes se connaissant bien et ayant travaillées dans la même agence. Elle mexpliqua que nous serions par table de 10 et quelles les remplissaient par ordre darrivée, (ordre de la direction) de façon à ce que les gens ne se regroupent pas par centres,
et rencontrent les personnels des autres centres souvent éloignés.
Après ces explications elle me remit une enveloppe kraft, avec le tampon de lhôtel (Certainement un appel de mon agence de Bordeaux, naturellement « extrêmement important », mais ça attendrait). Je la mis dans mon attaché-case. Enfin Mireille se retournant vers une autre jeune femme qui était elle aussi à laccueil : « Annie, je vous laisse. Vous prenez en charge les nouveaux arrivants, je vais dans ma chambre, prendre une douche, et serais de retour dans une demi-heure, en cas de problèmes vous mappelez en utilisant ce bouton (appel intérieur) et vous faites les 100.
Je pensais : Tiens, tiens, nous avons nos chambres voisines, des fois, enfin, rêvons un peu. Et je la regardais partir et je remarquais deux choses, une, son tailleur, élégant, mettait sa silhouette en valeur, deux, je lavais toujours vu en tallons plats ou en trotteurs, là, elle était chaussée descarpins, sa démarche en était dautant plus élégante et ça lui faisait un cul denfer. Elle était vraiment en beauté encore plus que lannée passée. Dailleurs je nétais pas le seul à lavoir remarquée, certains clients assis dans le salon jouxtant le desk, lavaient suivis du regard.
Je décidais de rejoindre ma chambre qui était effectivement à coté de celle de Mireille. Posant mes affaires, je me souvins de lenveloppe, javais pensé être tranquille pendant cette réunion et de façon à me débarrasser du problème et à contre cur me décidais à louvrir.
En entrant je métais aperçu que dans cette chambre classique, de ce genre dhôtel, il y avait un une porte, qui était close, donnant sur la chambre à coté. Javais entendu dire que certains hôtels avaient de telles portes de communication pour permettre de loger des familles avec s. Ceci étant il était clair que cette porte devait donner dans la chambre de Mireille. Il me devenait évident que cette répartition des chambres était voulue. Je mhasarder à ouvrir les loquets de mon coté et frappais à la porte, et jentendis : « Tu en as mis du temps, entres, la porte est ouverte ». Je rentrais et lui disais : « Tu as dit à ta collaboratrice que tu allais prendre une douche »
Elle : « Il me semble me rappeler quun jour tu mas dit : je naime pas lécher du savon ou quelque chose comme ça, donc,
comme nous avons deux jours et surtout deux nuits à nous, ... »
Après cet échange, nous sommes allés lun vers lautre nos lèvres se retrouvèrent et nos langues reprirent leurs caresses. Son bassin reprit sa danse denfer, ce qui, entre le contenu de lenveloppe et nos frottements entrainèrent une érection intéressante.
Moi : « Je te remercie pour ton cadeau,
la coupe a été faite exactement là où il fallait,.. »
Elle : « Ça te plait,
embrasses moi,
caresses moi,
jen rêve depuis que je sais que tu venais. Et ce nest pas une image,
toutes ces dernières nuits je rêvais à nos retrouvailles, cétait fou... »
Moi : « Wouah,
et en quoi consistait ce rêve »
Elle était contre moi, bien serrée,
et me regardant.
Elle : » Tu veux vraiment le savoir ?
»
Moi : « Oui, racontes »
Elle : « Tu vas me prendre pour une folle,
ou une obsédée
»
Moi : « Allons racontes,
ça va peut-être me donner des idées !!! »
Elle : « Bon,
Je suis dans la chambre dhôtel et tu arrives par la porte du couloir, complétement nu et avec
enfin bandant très fort,
et
»
Moi : « Wouah,
continues,
»
Elle : « Te voyant ainsi,
jenlevais ma veste de tailleur,
et la jetais au loin,
»
Revivant son rêve par sa narration, elle sétait un peu éloignée de moi.
Moi : « Cest ce que tu devrais faire »
Elle : « Tu veux,
tu aimerais,
»
Moi : « Fais le que je vois,
cest mieux que dimaginer,
ce doit être excitant,
»
Elle : « Quest-ce que tu vas penser de moi,
ça te fait plaisir,
je vais le faire,
» et elle jeta sa veste de tailleur sur le lit. Elle ne portait rien sous sa veste comme je limaginais, ayant enlevé son corsage elle avait également du enlever le soutien-gorge.
Moi : « Continues,
»
Reprenant son compte rendu. « Je remontais ma jupe,
et ainsi presque nue, je me couchais sur le lit
et là je me réveillais brutalement,
surprise,
» Elle avait la respiration qui sétait légèrement accélérée. Je décidais de prendre la suite du récit, à mon compte. « Ta jupe bien relevée, tu tes couchée sur le lit, quattends tu pour le faire ? »
Sans une ombre dhésitation, elle remonta sa jupe et se coucha et me regardant dit : « Viens,
prends moi,
jai envie de toi,
mais tes encore habillée,
je regarde je mouvre à toi,
viens,
je tattends,
» et largement elle écarta les cuisses, ses doigts ouvrant sa chatte, en une invite non déguisée.
Déshabillé, je le fus très très rapidement et je mengageais entre ses cuisses largement ouvertes.
Elle : « Non, pas ça, pas de préliminaires,
, viens, prends moi,
je suis chaude,
à consommer immédiatement,
oui,
à baiser immédiatement,
, rentres doucement que je te sente menvahir,
, me remplir ,
je veux sentir le poids de ton corps sur le mien,
jen ai tellement rêvé,
» Pendant ce temps, je métais présenté à lentrée de sa grotte damour et guidé par Mireille, je lavais investi doucement, complétement et facilement et javais entamé, doucement pour quelle me sente bien, mes va et vient dans son fourreau chaud et humide et rapidement la sono sétait mise en route. « Oui,
prends moi,
jaime te sentir me prendre,
sentir ta queue me pénétrez,
oui, vas-y,
, prends moi fort,
OOOOHHH,
cest bon,
, ne tarrêtes pas ,
plus fort,
, je vais jouir,
OUIIIII,
encore,
remplis moi,
je suis à toi,
je JOUIIIIIIIIS,
.
Voulant rouler sur le coté, elle mavait retenu : « Restes encore sur moi,
jaime te sentir sur moi,
te tenir dans mes bras,
» Puis quand même je me dégageais, pour reprendre notre souffle. Je me levais, quant à Mireille elle sassit et écartant les cuisses dit : « Ça déborde,
jespère que tu en as gardé pour la suite,
tu sais quon a deux nuits à nous,
si tu veux,
»
et elle glissa un doigt dans sa chatte et me regardant droit dans les yeux elle prit un peu du trop plein, et porta son doigt à sa bouche et le suça avec gourmandise : « Il ne faut rien perdre, ... » et elle partit dun éclat de rire. Et continua en disant « Excuses moi, je dois misoler un instant,
ça déborde de trop,
» Elle se leva et se dirigea vers la salle de bains pendant que je lui disais : « Bien sur que je compte sur ces deux nuits,
, mais cest toi qui décide,
, cest toi qui maccueil dans ton lit et ,
entre tes cuisses,
tas toujours un joli cul,
les escarpins ça le mets en valeur,
» Quelques instants après elle était de retour, recoiffée et elle rabaissa sa jupe et remit sa veste de tailleur. « Y-a des fois tu serais presque grossier,
et jaccepte de técouter,
je me demande pourquoi,
je suis complétement folle,
tu arrives,
tu me reprends,
jaccepte,
jai envie de toi,
je me plis à tes désirs,
je ne dois pas être normale,
Bon, je vais reprendre du service à laccueil »
Moi : « Je suis peut-être un peu grossier,
mais je suis le seul mec avec qui, non seulement, tu aimes faire lamour, enfin, non avec qui tu aimes baiser,
mais surtout avec qui tu aimes parler sexe
et ça ca texcite,
et qui fait ce que tu veux,
ce dont tu as envie,
je dirais qui se plie à tes phantasmes, sans juger,
»
Elle : « Arrêtes psychologue de chantier,
à toute à lheure,
»
La voyant partir ainsi, je lui dis : « Tu noublies rien »
Elle : « Je ne pense pas,
tu mas dit que tu aimais que je sois nue sous ma robe,
ça te donnera des idées,
et ça me fera penser à toi,
»
Moi : « Tu membrasses »
Elle : « Oui, mais pas sur les lèvres je viens de mettre du rouge »
Moi : « Sur les lèvres du bas, peut-être »
Elle : « Cest pas vrai, je nous connais, si tu membrasses là je ne suis prête de retourner à laccueil »
Moi : « Bien, un petit baiser dans le cou » et elle partit en disant : « Noublies pas de fermer la porte de communication, certains pourraient avoir de mauvais pensées »
Je retournais dans ma chambre, fermais la porte de communication et rangeais mes affaires, tout en ayant, avant, repris et humer le contenu de lenveloppe. Cétait bien elle.
Aux environs de 20,00 heures nous étions à lapéritif, ça discutait par petits groupes, surtout entre collègues de travail se connaissant. Un moment Mireille quitta son groupe et se dirigeant vers le bar pour prendre un verre, je lui emboitais le pas et lui glissais discrètement : « Tas vraiment un beau cul ». Elle partit rejoindre son groupe en se tortillant le joufflu. Puis lheure du diner fut annoncée et chacun prit la place qui lui avait été indiquée lors de son arrivée. Pour lentrée, cétait buffet, le plat principal fut servit et les desserts cétait buffet. Avec Mireille nous nous sommes retrouvés au buffet dessert.
Moi : « Tu prends quoi comme dessert ? »
Elle : « En général, comme tu sais, jaime les glaces,
pour les sucer,
après le diner, tâche de ne pas trop tarder,
je connais un jeune et jolie femelle qui attends pour se faire sauter »
Avant que je puisse réagir elle était partie. Le diner finit, je conservais un il sur Mireille pour le moment de son départ. Enfin, elle partit, je me levais pour en faire autant quand quelques collègues me proposèrent de rester pour le dernier verre. Je dus mexcuser, cause fatigue. Cette réunion était faite trop loin de ma base. Je pus enfin me dégager, et me dirigeais vers ma chambre. Jhésitais à prendre une douche, mais cela risquait de retarder ma rencontre avec Mireille et peut-être en prendrions nous une, ensemble ?
Je me déshabillais et passais une serviette autour des reins, pour enfin frapper à notre porte de communication.
Elle : » Entres, cest ouvert,
je tattends » Jentrais, là le choc. Elle était appuyée sur le chambranle de la porte de la salle de bain dans une position que naurait pas reniée les playmates photographiées dans Play-boy, langoureuse et excitante. Ajouté à cela quelle était vêtue, enfin non, dévêtue, dune nuisette en voile noir absolument transparent. Celle-ci était tenue par deux fines bretelles qui maintenaient un petit soutien-gorge, qui ne cachait rien et surtout qui mettait en avant ses tétons, qui pointaient avec orgueil. Entre les seins un petit nud maintenait le tout en place ? Sous le dessous le voile flottait, arrivant au-dessus de sa chatte et ne dissimulant rien. Elle avait gardé son porte-jarretelles et se bas, ainsi que ses escarpins, ce qui la faisait se cambrer. Le tout était excitant au possible et se traduisit chez moi par une excroissance dans mon peignoir.
Elle : « Tes encore habillé » Il ne me fallu que peu de temps pour évacuer la serviette et être contre elle. Chacun offrant ses lèvres à lautre, nous eûmes un baiser long et tendre, pendant que nos langes se retrouvaient et se caressaient. Ses hanches commencèrent leurs danses dexcitation, ce qui était dautant plus efficace que son ventre se frottait à mon sexe qui devenait dur et tendu. Je décidais davancer et la soulevant je la portais et la posais sur le lit. Sans une hésitation elle se laissa aller sur le dos et écartant ses cuisses, je pus découvrir sa chatte dont la toison était finement taillée.
Elle : « Viens cest à toi,
depuis le temps, je suis entièrement à toi,
jai envie de toi,
je tattends,
»
Je plongeais entre ses cuisses, dont le compas souvrit encore plus, et mapprochais de sa chatte, pour sentir son odeur qui menivrait. Elle était chaude et très humide. En fait, se promener depuis nos retrouvailles, la chatte à lair avait du lexciter, et à peine, le nez dans sa touffe courte et odorante, doù ses grosses lèvres gonflées sortaient, la sono se mit en route : « Ouiiiii,
cest à toi,
prends moi,
jattends ça depuis longtemps,
Je veux ta langue,
lèches moi,
jaime,
baises moi avec tes doigts,
ouiiii,
encore,
» Utilisant sa mouille qui coulait généreusement, jen profitais pour humidifier sa rosette et en même temps que je lui pénétrais la chatte, je mhasardais dans son petit trou, ce que je savais, par expérience, quelle appréciait.
Elle : « Ouiiiii,
continues,
jaime quand tu me prends des deux cotés,
ouiiiii, encore,
tout est à toi,
»
Pour ma part, je bandais fort et il me fallait un exutoire et lui dit : « Je vais te prendre,
»
Elle, me maintenant la tête entre ses cuisses : « Non,
, narrêtes pas,
, je vais jouir,
continues comme ça,
, tu me prendras après comme tu veux,
je moccuperais de toi après,
ne tarrêtes pas,
ça vient,
OUIIIIIIII,
OOOOHHH,
OUIIIIII,
JE JOUIIIIIS,
, OOOH OUIIIII,
» Elle eut un bel orgasme qui la fit se contracter, avancer son bassin en menserrant la tête entre ses cuisses et : « OOOOHHH,
OUIIII,
cétait bon,
OOOHHHH,
OUIIII,
» et elle saffala sur le lit, le souffle court.
Elle : « Cétait bon, ooohhh,
ouiii, cétait bon,
viens contre moi,
» et elle glissa sa main entre nous deux et attrapant ma tige : « Je vais moccuper de toi,
laisses moi faire,
»
Elle glissa jusquà mon sexe, à genoux entre mes cuisses, elle commença à le caresser, puis à titiller le gland avec le bout de sa langue, puis à lintroduire dans le fourreau de ses lèvres douces et chaudes et le prendre complétement en bouche pour me pomper en faisant des aller-retour, sa langue finissant sur le gland et de recommencer. Emporter par le plaisir quelle me faisait je lui dis : « Tu suces merveilleusement bien,
continues,
je sens que tu vas me faire jouir,
»
Ce compliment fut que sa langue devint de plus en plus active, caressante et excitante. Tant et si bien que ny tenant plus je lâchais tout dans sa bouche, ce quelle avala sans problème en disant : « Jespère que tu mas tout donné,
» et elle vint se coller à moi.
Elle : « Jai aimé que tu me fasses jouir comme ça, et a tu aimé ce que je tai fait ? »
Moi : « Jaime lécher ta chatte et la prendre avec ma langue et mes doigts, et pour le reste, tu suces admirablement bien, mais jaime aussi te prendre, te faire lamour,
te baiser,
»
Elle : « Nous avons encore deux nuits et une pleine journée.
, Bien, je vais enlever mes atours sexy, que jai mis pour toi,
ça ma fait limpression dêtre la fille dun soir,
jespère que ça ta plu,
tu peux rester dormir ici cette nuit,
ça me ferait plaisir,
»
Elle descendit du lit, enleva nuisette et bas et revint se coucher contre moi, car vue sa proposition, je resterais avec elle pour la nuit. Un gros câlin et elle sendormit relativement vite. Pour moi, le sommeil fut un peu plus long à venir, mais il arriva.
Aux environs de trois heures du matin, je me réveillais avec une sérieuse trique, je commençais par caresser les hanches, le dos, les fesses de ma compagne de lit.
Elle : « Arrêtes chéri, jai sommeil,
»
Je pensais que le « chéri » nétait pas pour moi, mais, peu importe, cétait moi qui était dans le lit de cette jolie femelle, je continuais donc mes caresses et Mireille finit par se mettre sur le dos, ce qui me facilita la tâche, car je pus entreprendre de caresser son ventre avec comme but son intimité, et cette position me facilitait également laccès à ses seins que jentreprenais aussitôt. Elle : « Quest ce que tu fais ?
non,
arrêtes, jai sommeil,
si tu continues,
»
Alors que je suçais et tétais ses seins, alors que ma main sapprochait délicatement de sa grotte damour »
Moi : « Je veux continuer,
je veux te faire lamour,
te prendre,
écartes les cuisses,
je veux caresser ton minou, .. »
Elle : « Non, sil te plait,
je veux dormir,
tu ne vas pas recommencer,
»
Moi : « Laisses moi faire,
laisses toi aller,
je suis certain que ten as encore envie,
donnes moi tes seins,
oui,
comme ça,
je vais te caresser le minou,
laisses moi faire,
»
Effectivement je mactivais sur ses seins sachant quils étaient dautant plus sensibles quelle était plus chaude et jatteignais enfin sa chatte, qui commençait à shumidifier, il fallait que je persévère et elle serait prête à écarter les cuisses et se laisser prendre.
Elle : « Ten as vraiment envie,
»
Moi : « Regardes,
enfin tâtes,
»
Elle descendit se main vers ma trique et poussa un OH de surprise et : « Tes insatiable,
mais je veux dormir demain sera une dure journée,
arrêtes,
non arrêtes,
OOOHHH,
»
Pendant tout son discours débité dune voix endormie et peu convaincante et même, peu convaincue, javais progressé, non pas sur les seins dont ma bouche soccupait sérieusement, mais javais rejoint sa toison et commencé à investir le doux sillon dentre ses grosses lèvres, ce qui me permettait davancer dans la conquête de la chatte de ma partenaire, dautant que les cuisses sétaient légèrement ouvertes, permettant un accès plus facile au but fixer.
Elle : « Arrêtes,
OOOHHH,
non, ne rentres pas,
OOOHHH, ouIIII,
tu es un salaud,
tu profites de ma faiblesse envers toi,
rentres,
arrêtes ce jeu de me faire attendre,
viens,
prends moi,
tas gagné,
continues,
je te veux,
»
Moi : « Tournes toi,
»
Elle : « Non, je veux que tu me prennes comme ça,
je veux te sentir sur moi,
dans mes bras,
entre mes cuisses,
te sentir me prendre,
oui,
viens,
après tu me montras, promis,
jaime aussi que tu me montes dessus,
mais maintenant comme ça,
je te veux entre mes bras,
entre mes cuisses,
»
Jétais sur elle, elle me guida dans sa grotte damour, ses bras menserrèrent comme ses jambes et je commençais mes va et vient dans son fourreau chaud et humide. Il fallut peu de temps pour que la sono se mette en route. « Oui, prends moi,
fais moi jouir, ... je suis à toi,
fais moi lamour, comme je veux,
après tu pourras me prendre comme tu voudras,
je ferais ce que tu voudras,
mais maintenant,
baises moi fort,
fais moi jouir,
, oui, fais moi jouir fort,
, je suis en manque,
»
Suite à cette révélation, qui avait due lui échapper et qui mouvrait de vastes horizons, enfin, plutôt de vastes espoirs, je continuais à la baiser avec énergie de façon à la satisfaire au mieux de mes futures envies. Dailleurs, elle subissait mes assauts avec plaisir et le disait, mais je sentais que jarrivais au bout de ma résistance et heureusement, elle était en train de partir : « Ouiiii,
continues,
je sens que ça vient,
plus fort,
OOOOHHHH,
je vais jouir,
OUIIIIII ,
je JOUIIIIIIIS,
. OOOHHHH,
OUIIIII
». Le souffle court, je me dégageais delle de façon à ne plus lécraser, et elle me dit : « Jaime quand je te sens sur moi,
ainsi je sur que tu es avec moi,
fais moi faire mon câlin,
» et tout le monde se rendormit rapidement.
A 7,00 heures le réveil sonna, javais une heure de retard sur mes habitudes, et nous étions en train de nous réveiller et de nous faire des gentillesses, quand on frappa à la porte et on entendit « Mireille, ouvres,
cest Annie,
» Panique à bord .
Elle doucement : « Prends tes affaires, file et ferme la porte » puis plus fort « Oui,
jarrive,
jallais prendre la douche » et elle se dirigea vers la porte de la chambre, javais déjà disparu.
Elle : « Quest-ce qui se passe »
Annie : « Le chef de Paris, voulait voir la salle de conférence, pour savoir si elle convenait, il voulait voir les responsables et laccueil me la envoyé. Heureusement jétais debout, je me lève de bonheur pour prendre mon petit déjeuner tranquillement, il ma gâché la journée. »
Elle : « Quas tu fait ? »
Annie : « Je lai amené à la salle de conférence, lui disant que jallais chercher la responsable »
Elle : « OK, va lui dire que jarrive, je prends la douche et je viens, vas prendre ton petit déjeuner, je moccupe du reste, Merci »
Entendant la porte intérieure de Mireille se fermer, je pointer mon nez dans sa chambre.
Elle : « Ces parisiens,
quoi, ils pensent quon nest pas capable dorganiser une réunion,
il faut que jy aille, je prends une douche et jy vais, on se revoit au petit déjeuner »
Petit déjeuner. 8,30 h début de réunion, 10,00 h pose café, 10,30 heures reprise des speechs, jusquà 12,00 heures. Nous avions stand bye, enfin apéritif, et discussions informelles entre nous par petit comité, et ce jusquau déjeuner à 13,00 heures. Environ 10 minutes après larrêt de la réunion, je vis Mireille filer discrètement vers sa chambre, tout aussi discrètement je lui emboitais le pas. Je pénétrais dans sa chambre juste après elle. Elle neut pas le temps de se retourner que lavais saisi dans mes bras.
Elle : « Quest ce que tu fais ? »
Moi : « Devines,
» et je posais mes mains sur ses seins et commençais à les caresser, les peloter « Défais tes boutons, que je puisse les caresser»
Elle : « Tu es fou,
lâches moi,
»
Elle avait posé ses mains sur les miennes et maccompagnaient dans mes caresses à ses seins. « Tu devrais enlever ta veste, je risque de la froisser »
Elle : « Non,
tu es vraiment fou,
»
Moi les lèvres dans son cou en train de lembrasser : « Enlèves ta veste,
quest ce que tu préfères que je te fasse un suçon ou que je te morde ? »
Elle : « Salaud,
pas de marque,
cest du chantage,
quest-ce que tu veux
»
Moi : « Oui, cest du chantage,
Je veux ce que tu veux,
tu es toute chaude,
»
Elle, en enlevant sa veste : « Tes content,
et maintenant,
Quoi encore
? »
Je lui fis faire demi tour et collais mes lèvres sur les siennes et lui caressais tendrement le dos.
Elle : « Oui caresses moi,
jaime quand tu me caresses,
ça mélectrise,
je sens plein de frissons qui courent sur ma peau, continues sil te plait
».
Elle frissonna, eut quelques secondes dhésitation et enfin écarta légèrement les lèvres, laffaire était en bonne voie, puis elle se mit à participer activement, lèvres et langues se retrouvèrent et sagacèrent. Je la poussais contre la table et je me mis à moccuper de ses seins sachant quils étaient très sensibles. Les tétons étaient déjà bien dressés et ne demandaient quà être un peu maltraités pour faire monter lexcitation de la propriétaire. Le résultat de mes caresses fut relativement rapide, les tétons durcirent et je pouvais ainsi les pincer, les tourner entre mes doigts.
Elle : « Sil te plait,
arrêtes,
»
Moi : « Je suis sur que tu as filé toute à lheure, en espérant que je le verrais et que je te suivrais ? »
Elle : « Tu es bien sur de toi,
»
Moi : « Non, tu avais envie que lon termine ce qui a été interrompu ce matin et je veux ce que tu veux,
je vais te prendre là, debout,
je suis certain que tu en as envie,
je veux te faire jouir,
relève ta jupe,
»
Un NON énergique fut la réponse.
Moi : « Relève ta jupe,
je suis sur que ta chatte est toute gonflée,
quelle souvre pour maccueillir,
que tu as envie de me sentir en toi,
»
De nouveau « Relèves ta jupe,
» un nouveau non, mais moins brutal, moins agressif, me permettait de penser que jétais sur la bonne voie.
Javais presque gagné la première manche il me fallait arriver au but.
Elle : « Tu es fou,
je ne peux pas,
on na pas le temps,
OH,
puis si,
tu as raison,
jespérais que tu verrais que je partais,
que tu viendrais pour me faire lamour,
pour me prendre,
je suis complétement folle,
mais jai envie de toi,
tes un monstre,
oui,
viens,
prends moi ,
baises moi,
je suis venue pour ça,
tu vas penser que je suis une salope, une garce,
mais je te veux,
» et elle remonta sa jupe au niveau des reins, puis sappuyant sur le bureau, son joli cul bien en vue et les jambes bien écartées, je glissais une main entre ses cuisses et pouvais constater que toutes ses hésitations nétaient que de fausses excuses et, quavant tout, elle était daccord pour arriver là où nous en étions, mais il fallait une certaine résistance de la femelle pour exciter le mâle et essayer de le rendre plus performant.
Je décidais de jouer un peu avec elle, pour la faire grimper au rideau et quelle demande grâce. Nayant plus accès à ses seins, position oblige, je décidais de mattaques sa chatte, que je savais sensible, quand elle était bien chaude, donc je glissais ma main entre ses cuisses et couvrais son intimité, que jentreprenais de caresser en laissant mon majeur glisser entre ses grosses lèvres, que je sentais gonflées. Après deux ou trois caresses, je continuais à suivre le sillon de sa chatte en remontant le sillon dentre ses fesses et en marrêtant sur sa rosette que jhumidifiais de sa mouille, puis je redescendais et recommençais mon petit manège en pénétrant un peu plus sa chatte et sa rosette à chaque passage. Deux réactions se firent jour, la première fut que la poitrine sur le bureau, ses mains se portèrent sur ses fesses pour les écarter la seconde fut que la sono se mit en route : « Jaime tes caresses,
oui,
rentres un peu,
(quand je pénétrais sa rosette il y eut) un « OOHHH,
oui,
continues, jaime,
»
Je continuais, mais en changeant un peu de tactique. Javais lindex et le majeur dans son minou alors que mon pouce pénétrait son petit trou, ce qui entrainait « Oui,
continues,
jaime que tu me prennes comme ça,
OOOHHH,
cest bon,
je sens que ça vient,
»
Je marrêtais car, javais une trique qui se posait là. Je tombais pantalon et caleçon et je mintroduisais dans son fourreau, chaud, ouvert et humide, très humide, car je la pénétrais vraiment en douceur ce quelle accepta avec un « OH,
oui,
» de satisfaction. Je la cramponnais aux hanches, bien décidé à lui bourrer la chatte et à la faire gémir de plaisir de façon quelle en redemande.
Elle : « Oui,
prends moi,
fort,
très fort,
je veux te sentir me remplir,
jaime quand tu me prends fort,
(et, je lui claquais les deux fesses)
oui,
salaud tu aimes,
oui,
encore,
(et je remettais ça), OOOHHH,
oui,
» Chaque fois que je lui claquais les fesses, elle se raidissait et ses muscles internes me serraient la queue, ce qui était agréable. Je lui dis : « Tas vraiment un beau cul »
Elle : « Tu en as envie ,
, tu lauras,
, mais pas maintenant,
, finis moi comme ça,
, je sens que ça monte,
ouiiii, continues,
ouiii baises moi fort,
, je vais jouir ,
, OUIIIII,
., encore, ne continues pas,
, OUIIIIIIII,
, je JUOIIIIIIIIS,
OUIIIII ,
.OUIIIIII,
» Moi, javais tout lâché un peu avant quelle ne parte, mais cela avait été bien, enfin bon, très bon. Puis dame nature faisant son travail, je me retirais de son fourreau chaud, quand Mireille se retourna et saccroupissant, prit ma queue, un peu tristounette, me caressant me prit en bouche en disant : « Jaime le goût de notre plaisir mélangé,
jaime te lécher,
après que tu ma prise,
laisses moi faire,
»
Cette gentillesse terminée, elle se releva et se collant contre moi : « Embrasses moi,
cétait bon,
tu auras le reste plus tard,
je te lai promis,
bien il faut y aller,
fais attention en sortant,
«
Moi : « Ne tinquiète, je vais sortir par ma chambre, je navais pas fermé les loquets en partant,
à toute à lheure, je tembrasse »
Jouvrais la porte commune, et jétais déjà dans ma chambre, quand jentendis : « Merci,
Je tadore,
» La porte était fermée ????
On se retrouva dans la salle à manger. 13,00 déjeuner heures. 14,30 heures reprise de la réunion, 16,00 heures, pose, 16,30 heures reprise jusquà 18,00 heures FIN dislocation. Les personnels vivant proches de Poitiers partirent rejoindre leur résidence, dautres restèrent pour ne quitter lhôtel que le lendemain entre autres les éloignés. Des petits groupes restèrent à discuter, dautres regagnèrent leur chambre. Mireille quant à elle étant la responsable de lorganisation eut à rencontrer la direction pour régler les derniers problèmes cest à dire rendre le matériel,
Ce qui loccupât jusquà vers 19,30 heures. Quand elle fut de retour, elle avait changé de tenue, portant blouse blanche et jupe trapèze à gros boutons, qui me rappelaient de bons souvenirs. Il y eut un nouvel apéritif, puis le diner vers 20,00 heurs où nous nétions plus quune vingtaine et qui se prolongea jusque vers 21,00 heurs. On allait se séparer quand un des membres du groupe dit à la ronde : « Cest bien tout ça, mais moi je vais aller en boite me changer les idées et menvoyer une verre. Est-ce quil y a des volontaires pour maccompagner »
Il y eut un moment de surprise, les filles, enfin les 3 jeunes femmes qui étaient à notre table regardèrent Mireille, qui était plus ou moins leur chef. Celle-ci acquiesça : « Excellente idée, si je nétais pas si fatiguée, je t accompagnerais volontiers. Amusez vous bien »
Les 3 jeunes femmes, après cette acceptation tacite, acquiescèrent et se levèrent qui pour aller chercher qui un tricot,
alors, 3 autres concives décidèrent de se joindre au groupe.
Serge dit : « Je vais à la réception demander où il y a un boite sympa » Mireille lui répliqua : « Si tu veux une boite techno jen connais une, on y est allé pour lanniversaire de Damiens. Tu prends la route de Limoges, dans la zone industrielle, sur la droite un Hyper marché, tu vas vers lui et la boite est juste derrière »
Quant à moi, je me retirais en bon ordre, vers ma chambre, sous le prétexte que le lendemain je devais retourner à Bordeaux et me payer 250 km.
Quelques minutes après la porte intermédiaire souvrait et Mireille apparaissait : « Alors que fais-tu ? »
Moi : « Jattends de savoir ce que tu as décidé »
Elle : « Bon, quand ils seront tous partis en boite, je déplace la voiture pour quelle soit visible quand ils rentreront de boite, et on prend la tienne et on va dans la boite rétro, que tu connais, car jai envie de danser, jai envie dêtre dans tes bras, de te sentir contre moi »
Ainsi décidé, il ny avait quà exécuter et environ une demi-heure après nous entamions notre première danse. Ses bras autour de mon cou, nos corps collés, on se frottait lun à lautre et Mireille commença sa danse du diable, ses hanches roulaient contre moi et la série de slows terminés, une certaine bosse apparaissait à la hauteur de ma braguette, ce qui réjouit Mireille. Car à peine revenu à notre table, discrètement, elle mi sa main sur ma braguette et elle dit : « Huumm,
je vois que la forme revient,
». Une série de tango arriva, nous étions sur la piste, jaime bien cette danse, car, pour bien la pratiquer, il faut que la jambe de lun soit entre les jambes de lautre et inversement. Mireille savait parfaitement se positionner ainsi, et, chaque fois quil lui était possible, elle frottait son intimité sur ma cuisse, point nest besoin dune description pour savoir ce qui se passait dans mon pantalon et je pouvais imaginer, que le minou de ma cavalière devait commencer à se chauffer, ou plutôt à se gonfler et à shumidifier. Après cette série, retour à la table pour shumidifier le gosier et re-série de slows. Et de nouveau, nous étions collés lun à lautre et ses hanches se remirent en mouvement dune façon extrêmement persuasive.
Elle : « Jai envie de toi,
et toi,
dis moi,
que tu as envie de moi,
dis moi ce que tu veux,
ce dont tu as envie,
jaime savoir,
»
Cette série terminée, nous retournions à notre table et je reprenais la discussion.
Moi : « Tu vas déboutonner ta jupe, jusquà la ceinture,
comme ça je pourrais te caresser les cuisses entre deux danses,
et au prochain tango tu pourras frotter ta chatte contre ma cuisse,
tu aimes ça,
»
Elle : « Tes fou,
pas ici,
je te vois venir,
un tango encore, peut-être,
mais tu serais capable de vouloir danser un rock,
»
Moi : « Tiens, je ny avais pas pensé ?
cest une bonne idée,
»
Elle : « Tes complètement fou,
je veux bien en déboutonner quelques uns,
mais pas jusquen haut, ... simplement pour sentir ta main me caresser,
et puis,
, non,
, tu me rends dingue,
, bon, quelques uns,
» et effectivement, elle déboutonna sa jupe, mais grosso modo, jusquà mi-cuisses, en fait il restait 4 boutons. Caché par le dessus de la table je pouvais glisser ma main entre ses cuisses, gainées de bas, et je passais le haut des bas, là ou la peau est très douce. Même en me facilitant laccès, comme elle le faisait, la jupe mempêchait daller plus avant. « Tu devrais en déboutonner deux de plus, je suis bloqué,
»
Elle : « Non,
tu me fais faire nimporte quoi, .., mais je suis dingue,
dès que tes là je perds toute volonté,
je ne pense quà une chose,
et je reste là, à me laisser faire,
à faire ce quil veut,
voilà des tangos, invites moi,
, on verra après,
»
Nous étions sur la piste : « Serres moi fort,
ooohhh, ouii, comme ça,
encore plus,
» Elle était collée à moi, enfin nous étions collés. Si ses hanches avaient repris leur danse du diable, elle navait pas oublié à chaque passage possible de frotter son entrejambe sur ma cuisse et au deuxième tango, rapidement elle pu sentir leffet quelle me faisait, mais cela lui faisait aussi de leffet, car sa respiration se faisait plus haletante et elle dit : « Ça te ferait plaisir que je déboutonne complètement,
ça te donnerait envie de moi,
jai tellement envie de toi,
OOOHHH, je sens ta place, ..»
Moi : « Cest à toi que ça fait envie,
mais tu aimes que je te le demande,
ça texcite,
le risque texcite,
tu te déboutonnes jusquà la ceinture,
je te caresse,
et quand tu es prête on sen vat,
pour terminer plus loin,
»
Elle : « Oui,
Daccord,
et après,
dis moi,
» et nous partîmes pour la série de slows, avant daller sur la piste je constatais que même entièrement déboutonnée, il y avait tant de tissu, que rien nétait visible, mais je me gardais bien de lui dire, cela aurait rompu léquivoque. Ses bras autour de mon cou, son corps incrusté dans le mien. Javais quand même réussi à glisser les mains sous sa blouse et pouvais ainsi lui caresser, discrètement, le dos. La série terminée, nous regagnâmes nos places et profitant de la couverture du dessus de la table je tentais de me glisser dans louverture de sa jupe, ce qui fut facile. Les pans de celle-ci ayant été préalablement repoussés par sa propriétaire. Jeu donc un accès aisé à lintérieur de ses cuisses, légèrement ouvertes, ce qui me permettait un accès possible et rapide à son minou. Quelques caresses de lintérieur de la cuisse et la chatte était investie. Ce qui se traduisit par un profond soupir que je jugeais de contentement. Lobjectif était atteint, il fallait le pénétrer. Une légère avancée du bassin, une ouverture du compas de ses cuisses et mon majeur titillait lintérieur de sa chatte ouverte, chaude, humide. A près quelques minutes de ce jeu un peu pervers certes :
Elle : Ça y est,
tu es arrivé à tes fins,
tu es content,
maintenant arrêtes,
si tu continues tu vas me faire jouir,
sil te plait, finis moi dehors,
quest ce que tu veux,
je sens ta place,
»
Je me penchais dans son cou et lui murmurais : « Je veux bouffer ta chatte et le reste,
»
Nous quittâmes la boite pour nous retrouver près de la voiture, je la pris dans mes bras et nous nous collâmes lun à lautre, je commençais par passer sous sa blouse et lui caresser le dos, puis descendant je dégageais un pan de sa jupe et arrivais ainsi sur sa cuisse et me retirant jinvestissais sa chatte, il y eut une petite résistance, mais qui céda sans difficultés. La pénétrer ne posait aucun problème tellement son intimité était accueillante et dautant plus quelle écarta légèrement les cuisses et avançant un peu son bassin sempala sur mon majeur.
Elle : « Tes content,
tu es arrivé à ce que tu voulais,
ooohhh,
narrêtes pas,
»
Vue sa disponibilité je la soulevais et lasseyais sur le capot, tout en écartant les cuisses elle me dit : « Non,
pas ici,
pas comme ça,
OOOHHH oui,
on va nous voir,
»
Vu lemplacement de la voiture, éloignée de lentrée, seule éclairée, il était peu probable que lon puisse être surpris, je continuais mes manuvres.
Elle sétait quand même décidée à se coucher sur le capot, la jupe entièrement ouverte, les cuisses largement ouvertes, javais à disposition sa chatte, que je mempressais dinvestir avec bouche et doigts à la satisfaction de ma partenaire. Son odeur de femelle bien chaude me saoulait littéralement et je mempressais de laper son jus à la source, pendant que mes doigts senfonçaient sans problème dans son fourreau coulant de plaisir. La musique douce à mes oreilles se mit en route et : « Ouiii,
cest bon,
prends moi avec tes doigts,
oui, comme ça,
OOOHHH,
OOOHHH,
oui, rentres,
ça mexcite de faire ça, là,
, oui,
»
Javais profité de son ouverture pour titiller son petit trou et elle avait apprécié cette initiative. En même temps que ma langue soccupait de lécher et aspirer ses grosses lèvres, mes doigts accéléraient leur va et vient dans ses orifices humides et ouverts à ces jeux, ce qui sentendait : « Ouiiii,
continues,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
ouiiii,
OOOHHH,
OUIIIII,
jaime ça,
continues, tu vas me faire jouir,
OUIIIII,
OOOHHH, ... JE JOUIIIIIIIIS,
OUIIIII,
»
Ses cuisses se refermèrent brutalement sur ma tête et un flot de son jus de plaisir sécoula dans ma bouche gourmande. Il lui fallut quelques instants pour revenir de son voyage et se laissant glisser du capot elle atterrit dans mes bras : « Salaud,
tes content de toi,
me faire ça ici,
sur le capot dune voiture,
je ne me reconnais plus,
embrasses moi,
cétait bon,
dépêches toi, on rentre à lhôtel,
je veux te sentir me prendre,
je veux moffrir à toi,
viens,
»
Nous étions dans la voiture, je commençais à écarter les pans de sa jupe. Elle marrêtât et les dégageant, elle même, écarta les jambes, et dit : « Cest ça que tu veux ? »,
cest ainsi que nous arrivâmes au parking de lhôtel. Après mêtre garé, je lui conseillais de rentrer seule : « Cest mieux, certains pourraient avoir des idées idiotes !!! On se retrouve dans la chambre »
Environ cinq minutes plus tard je rejoignais ma chambre. Je frappais à la porte intermédiaire qui souvrit aussitôt, Mireille mattendait, vêtue dun soutien-gorge quart de bonnet en dentelle, qui propulsait ses seins en avant, dun porte jarretelles tendant ses bas et de ses escarpins.
Elle : « Tes encore habillé,
» Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour me trouver nu comme un vers et avec une trique visible et bien tendue. Mireille sapprochant, nous nous collâmes et nos lèvres se rejoignirent, nos langues se caressèrent et son bassin se frotta à ma bite bien dressée. Après un baiser chaud et humide, ses mains qui étaient autour de mon cou se détachèrent et saccroupissant, en me regardant droit dans les yeux, ses mains glissant sur mon corps, cétait dun érotisme
Elle se saisit de mon sexe et toujours me regardant commença à lécher mon gland, puis elle lentourait de ses lèvres légèrement entre-ouvertes, jentrais dans un fourreau chaud et humide, pour enfin mavaler entièrement et commencer à me pomper avec ardeur.
Plus elle allait plus cela devenait insupportable et à ce régime, je nallais pas tarder à me vider complétement et être dans limpossibilité dhonorer ma partenaire
Moi : « Arrêtes,
si tu continues, je vais éclater,
je ne pourrais plus moccuper de ta chatte,
»
Heureusement elle sarrêta et remontant en me couvrant de petits baisers aussi rapides que légers, elle arriva à ma hauteur et se colla de nouveau.
Elle : « A toi,
je suis à toi,
entièrement à toi,
jai envie de toi,
prends moi,
» et elle se positionna à genoux sur le lit, la tête dans les draps et les fesses à hauteur de queue. Après cette invite il nétait pas possible dhésiter. Je me présentais à lentrée de son intimité et me saisissant elle me guida dans elle et mon introduction dans sa chatte se traduisit par un soupir de satisfaction. Et je commençais mes va et vient dans son fourreau chaud, bien lubrifié où je coulissais avec douceur et plaisir, en peu de temps la sono se mit en route me faisant comprendre sa satisfaction.
« Oui,
cest bon,
jaime te sentir là,
continues,
mes fesses,
»
Appréciant ses commentaires et cramponné à ses hanches jobéissais à son injonction et lui claquais la fesse droite, la réaction fut rapide, un « OOOHHH,
oui, .. » et une contraction des tous ses muscles, un peu comme un spasme, sen suivit. Je remettais cela sur lautre fesse, la réaction fut identique, mais il me fallait accélérer le rythme si je voulais arriver à la faire jouir. Après ces deux claques, alors que javais son beau cul ferme et bien rond devant moi, elle posa ses mains sur ses fesses et les écarta, exposant ainsi son petit trou à mon regard,
Elle : « Ten as envie
? »
Avant davoir répondu elle continua : « moi aussi,
oui prends mon cul, je te lai promis,
encules moi,
jen ai tellement envie,
oui montes moi, jaime,
fais doucement,
oui,
»
Ressortant du fourreau doux et chaud de sa chatte, je commençais une pénétration douce, pour lui permettre de se détendre et de s ouvrir à moi, ce qui ne demanda pas beaucoup de temps, tellement elle était prête à vouloir, à avoir envie, se faire prendre par là, dautant quen commençant mes va et vient, comme je my attendais, sa main droite commença à soccuper, avec ardeur, de sa chatte. Il ne nous fallu pas longtemps pour déclencher la sono :
Elle : « Oui,
cest bon, fais doucement,
je mhabitue,
oui,
continues,
jaimes quand tu me prends comme ça,
OOOHHHH,
Oui,
»
Moi : « Tu aimes prendre ta chatte avec tes doigts ? »
Elle : « OOOHHH, Oui,
Jaime être prise des deux coté en même temps,
cest bon,
oui, accélères,
plus vite, .., je sens que ça vient,
OOOHHH,
OUIiiii,
narrêtes pas,
remplis moi,
OUIIIIIII,
je JOUIIIIIS,
OUIIIIIII,
»
Elle saplatit sur le lit, un peu essoufflée, mais paraissant ravie de ce qui venait darriver, pour ma part je métais éclaté et vidé dans son cul alors quelle même prenait son pied. Je mallongeais à coté delle et elle vint se blottir contre moi.
Elle : « Fais moi faire mon câlin avant que je parte »
Moi : « Tu ne reste pas ici, pour la nuit ? »
Elle : « Non,
je te connais et je me connais, si je reste on va recommencer et la nuit est déjà courte et je voudrais dormir un peu avant de prendre la route. On se revoit au petit déjeuner vers 8,00 h. »
La nuit passa rapidement, heureusement, 7,00 h, la sonnerie du réveil mindiqua quil fallait se remuer. Douche, refaire la valise, ranger les documents, vers 8,00 h jétais au restaurant pour le petit déjeuner. Mireille nétait pas là, jattendis une dizaine de minutes, toujours personne et tout dun coup, je me souvins de ce qui cétait passé lorsque javais quitté Limoges. Elle sétait fait porter malade. Je stoppais mes agapes et me rendais sur le parking, sa voiture avait disparu,
Jétais un peu dépité, mais bon, javais, nous avions passé de bons moments dommage, jaurai bien aimé un adieu plus
tangible. Fin de petit déjeuner, je vidais ma chambre et rendais la clé, quand la jeune femme à laccueil me remit une enveloppe. Prudent jattendais dêtre dans la voiture avant pour louvrir. Elle contenait une feuille avec écrit dessus : « Je tM à coté la marque de ses lèvres et en dessous Adieu »
Traduction libre : « Je = Moi
M = Mireille
lèvres = baiser,
Adieu »
Ce rébus était clair et précis,
on pouvait dire et écrire fin.
Mais pourquoi le : « t » incompréhensible ??? Je démarrais en direction de Bordeaux. Il me fallut au moins 150 km pour trouver une explication à cette petite énigme. Et quand je lai résolue je me suis dit que Mireille était folle complétement dingue, enfin si ce que javais trouvé était la réalité. En effet « M » on prononce : « aime » et lénigme devient, à mon sens : « Je = Mireille
t M = taime
lèvres = baiser,
Adieu » !!!!!
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